Louis(e)29 août 20191 min de lectureJour cent quatre-vingt-dix-sept. 197/365.Smoke builds up around his mouth and noseUne perturbation dans ses poumonsUne brûlure salutaire.
Louis(e)29 août 20191 min de lectureJour cent quatre-vingt-seize. 196/365.- Parfois c'est dur d'être un seul corps sans toi.- C'est beau et triste.- Oui.
Louis(e)16 août 20191 min de lectureJour cent quatre-vingt-quinze. 195/365. Barcelona c’étaitTon corps contre le mien, ta voixEn espagnol élancéTes jambes nues au soleil.Je te rends GraciaEt me reprendsJ’ai nos riresPlein les dents.Barcelona c’étaitLe soleil écrasant de la siestaLes cafés littéraires con lècheL’ivresse d’Inès et puis celle de Rachel.Gravir les rues pavéesPédaler en DiagonalLe vent dans le cœurEt les yeux rassasiés.Je t’écris de l’avionJe déglutis à grand-peineA-deu vergerMa tête ne veut que toiLacrimosa.
Barcelona c’étaitTon corps contre le mien, ta voixEn espagnol élancéTes jambes nues au soleil.Je te rends GraciaEt me reprendsJ’ai nos riresPlein les dents.Barcelona c’étaitLe soleil écrasant de la siestaLes cafés littéraires con lècheL’ivresse d’Inès et puis celle de Rachel.Gravir les rues pavéesPédaler en DiagonalLe vent dans le cœurEt les yeux rassasiés.Je t’écris de l’avionJe déglutis à grand-peineA-deu vergerMa tête ne veut que toiLacrimosa.